Anjali est originaire du Gujarat. Etat d’Inde dans lequel elle vécut la majorité de son existence avec sa famille et apprenait à son rythme à découvrir les principes de vie suivis par toute personne pratiquant l’hindouisme. Ainsi, pour Anjali, rien n’était dû au hasard, pas même une rencontre avec un individu. Au contraire, pour elle, toute personne qu’elle rencontrait était en mesure de lui enseigner quelque chose ou d’apporter, dans une certaine mesure, une amélioration dans une situation plus ou moins problématique. Elle avait également appris à ne jamais s’interroger sur le déroulement d’une situation si elle avait été différente. Ainsi, chaque événement advenant au cours d’une vie ne pouvait être autrement, non, il était nécessaire que tous se déroulent de la façon exacte dont ils s’étaient produits. Anjali avait eu l’occasion d’enseigner à l’une de ses sœurs à ne plus chercher à vivre ce qui s’était terminé. Car la fin d’une situation, d’une expérience, marquait la fin de l’utilité de celle-ci dans notre vie, dans le développement de notre identité. Et en ce qui concernait l’identité, et même plutôt de la personnalité, Anjali avait appris à faire preuve de courage, de tolérance, d’humilité, d’honnêteté mais également de contrôle de soi. Elle ne montrait ainsi jamais d’émotions négatives, en particulier la colère. Dans sa culture, dans sa religion, il était, de toute manière, mal perçu de se montrer en colère. En effet, l’hindouisme préconisait plutôt le calme, la compréhension et le pardon. Anjali était également une femme emplie de curiosité, elle s’intéressait à diverses choses, à différentes activités, et même à certaines formes d’arts. Par ailleurs, Anjali s'était mise à s'exercer notamment à la danse. A tel point que, durant un temps, elle nourrissait l'espoir de devenir danseuse, de faire de la danse son métier. Cependant, elle ne fut pas en mesure de nourrir cet espoir bien longtemps puisqu'elle dû fuir l'Inde. Elle ne quitta pas son pays natal par curiosité de découvrir un tout autre pays dans lequel sa religion et sa culture seraient minoritaires. Pour cela, elle se serait contentée de voyager. Pour autant, elle ne se découragea pas et fut en mesure de trouver, au bout d’un temps un certain équilibre dans son nouvel environnement. Sur certains points, elle devait bien admettre avoir le mal du pays, et sa famille en particulier lui manquait. Néanmoins, sur d’autres aspects, elle pouvait bien avouer que l’Inde avait du travail à fournir concernant notamment le droit des hommes, ou plutôt, des femmes. Anjali est sensible à la vie. Tout la touche, tout l'atteint. Par ailleurs, elle croit assurément au Karma, ainsi, Anjali, depuis son plus jeune âge, s’était toujours montrée soucieuse de chacun de ses comportements.
Anjali se sentait chaque année toujours plus alarmée en ce qui concernait la vie sur Terre, notamment en ce qui concernait le réchauffement climatique qu'ele craignait tant. Ainsi, elle avait commencé, dès son arrivée aux Etats-Unis, à se lancer entièrement dans la cause écologique. Elle se rendait par ailleurs presque partout à pieds, ayant la volonté de contribuer au maximum à l'environnement, ou, pour de plus longues distances, elle favorisait les transports en commun. Elle faisait, par ailleurs, de son mieux dans son objectif zéro déchet. De nature sociable, Anjali parvint rapidement à s'adapter malgré le mal du pays dont elle faisait preuve en premiers lieux. Quant aux fêtes liées à la pratique de sa foi, elle faisait de son mieux pour rendre hommage au Brahman, mais bien évidemment, les fêter seule, sans sa famille l'envahissait de tristesse, notamment lors du Raksha Bandhan, là où l'attachement de la fratrie était célébrée lors de la pleine lune d'août. Elle dédiait ainsi ce jour à ses soeurs avec qui elle pouvait tout de même communiquer grâce à l'existence du numérique.
Anjali se sentait chaque année toujours plus alarmée en ce qui concernait la vie sur Terre, notamment en ce qui concernait le réchauffement climatique qu'ele craignait tant. Ainsi, elle avait commencé, dès son arrivée aux Etats-Unis, à se lancer entièrement dans la cause écologique. Elle se rendait par ailleurs presque partout à pieds, ayant la volonté de contribuer au maximum à l'environnement, ou, pour de plus longues distances, elle favorisait les transports en commun. Elle faisait, par ailleurs, de son mieux dans son objectif zéro déchet. De nature sociable, Anjali parvint rapidement à s'adapter malgré le mal du pays dont elle faisait preuve en premiers lieux. Quant aux fêtes liées à la pratique de sa foi, elle faisait de son mieux pour rendre hommage au Brahman, mais bien évidemment, les fêter seule, sans sa famille l'envahissait de tristesse, notamment lors du Raksha Bandhan, là où l'attachement de la fratrie était célébrée lors de la pleine lune d'août. Elle dédiait ainsi ce jour à ses soeurs avec qui elle pouvait tout de même communiquer grâce à l'existence du numérique.
Sans vouloir se montrer vaniteuse, Anjali se considère avant tout comme étant une artiste de par ses bijoux. Pour elle, les bijoux se détachent de leur fonction principale de décoration et peuvent, en fait, devenir un trait de personnalité. Ainsi, chaque bijou se montrer propre à chacun. Elle considère ainsi les bijoux comme étant une extension d'elle-même. En lui prenant l'un de ses bijoux, elle a l'impression qu'on peut lui prendre, en même temps, une partie d'elle. Les couleurs sont également, selon Anjali, une part de soi. Les couleurs, néanmoins, expriment elles plutôt les émotions que l'on ressent. Alors, quand bien même elle n'exprimait pas directement ce qu'elle ressentait, Anjali se vêtissait généralement en fonction de ses émotions. Ce qu'elle tente avant tout de faire en réalisant ses bijoux, c'est de se rapprocher d'autrui, des personnes qui aspirent à repousser leurs limites, comme elle le fait. Bien entendu, "repousser ses limites" est propre à chacun, et, dans le cas d'Anjali, il s'agit d'être en harmonie parfaite avec elle même, raison pour laquelle elle se dévouer plus particulièrement à la déesse Lakshmi. Déesse de la joie, de l'harmonie et de l'équilibre. Elle, est, par ailleurs, la déesse mère bienveillante. En tout temps et pour tout ce qu'elle entreprend, Anjali donne le meilleur d'elle-même. Elle y donne par ailleurs, toujours tout de sa personne, puisqu'en réalité, Anjali suit la loi du tout ou rien. Anjali est une âme qui aspire à devenir libre, à atteindre le stade du Moksha, la Réalisation de soi au plan spirituel. La fin de son cycle de réincarnation. Une belle âme qui aspire et croit au bonheur. Depuis qu'elle vit aux Etats-Unis, elle entend beaucoup de personnes prétendre que le bonheur est éphémère, mais pour Anjali, celles-ci se trompent : le bonheur est partout où réside la vie. Et la vie réside en n'importe quel être, du plus grand Homme à la plus petite des fourmis.
Anjali grandit dans une culture qui lui disait qu'en tant que femme, il lui fallait se comporter d'une certaine manière, puis elle connu le style musical du rock, qui lui soufflait plutôt d'envoyer promener tout le monde. Après tout, ce n'était pas parce qu'elle était croyante qu'elle avait pour but de devenir mère de famille. Encore moins de n'être reconnue qu'à travers la responsabilité des biens, d'un foyer, et d'une famille. Ce qu'elle avait toujours souhaité, c'était de devenir une artiste. Dans un premier lieu, par le biais de la sculpture, puis, elle avait envisagé une carrière dans la danse, et, entre temps, elle s'était mise à fabriquer ses propres bijoux. Et c'était bien cette dernière activité qu'elle conserva en quittant l'Inde. Néanmoins, il fallait admettre que la vie d'artiste n'était jamais très facile à vivre. Tout est constamment critiqué par des individus qui s’improvisent critiques, mais qui ne le sont pas. Concernant ses créations, les gens aimaient généralement à dire que la culture est l'inspiration première d'Anjali. Elle pu ainsi consater que l'Amérique adore parler d'ethnicité. Alors autrui diront toujours que tout est « ethnique », mais en fait, la vie est l'une de ses plus grandes inspirations. La vie et son renouveau avec la mort. La vie et son caractère précieux. Depuis son enfance, Anjali avait développé une facination envers la vie et son renouvellement, la réincarnation. Ainsi, Anjali se découvrit rapidement une passion pour tout êtres vivants, dont notamment les animaux. Elle ne devint pas végétalienne suite à cette prise de conscience, ni même pour son amour envers les animaux. Non, cela elle le devait à sa religion. Cependant, plus elle prenait de l'âge, et plus Anjali devint soucieuse du traitement envers les animaux. Alors, Anjali, avait finit par débuter les manifestations. Dès le départ, Anjali avait la volonté de rester pacifique, cependant, elle se mettait à comprendre de plus en plus que ses manifestations ne portaient pas ses fruits. Certes, elles ammenaient parfois plus de manifestants, cependant, au sens d'Anjali, ce n'était pas suffisant. Néanmoins, malgré le fait que les années passaient, elle ignorait toujours comment devenir plus efficace dans ses démarches. Néanmoins, Anjali se devait de demeurer patiente et de tout faire pour, finalement, ne pas agir par impulsion et entacher son Karma.
Avec autrui, Anjali ne s'était jamais montrée bien difficile, ni à supporter, ni à approcher. Elle aimait l'humain, malgré toute la violence dont il pouvait faire preuve. Elle aimait à penser que ces individus dont émanait la violence physique et psychique n'était qu'une partie de la population mondiale. Et que, dans une autre vie, ces mêmes personnes avaient été, ou deviendraient, de bonnes personnes, avec des valeurs à défendre. Elle ne pouvait pas affirmer que l'injustice disparaitrait, néanmoins, elle avait la conviction qu'il y aurait toujours des individus présents pour lutter contre. Et la forme de lutte qu'Anjali avait choisi résidait définitivement dans son choix professionnel. Elle avait eu envie de travailler dans diverses domaines, tous dans le but de protéger au maximum différents types de populations. Les femmes, les enfants, les personnes non blanches, les individus appartenant à la communauté LGBTQ+, les animaux. Si cela n'avait tenu qu'à elle, il était certain qu'Anjali se spécialiserait dans chacun de ces domaines, qu'elle jugeait tous comme étant d'une grande importance. La concernant, Anjali s'était spécialisée depuis maintenant 3 ans dans le droit de la famille. Ses interventions se dirigeaient principalement vers la défense des mineurs, la protection de l'enfant ainsi que l'assistance à victime de violence dans le cadre conjugal. Pour une question de visibilité, mais surtout, de pouvoir apporter son aide à un maximum de personnes, Anjali s'était, par ailleurs, rapprochée de certaines associations créées pour apporter aide et soutien aux victimes.
